Un bel exemple de la Côte-d'Or Bourgogne. Une fois décantés arômes de basse-cour terreuse émergé (un recherchée pour, comme des arômes de diesel dans un riesling), avec calcaire sinon calcaire poussiéreux, de griotte et sombre. Pour le goût, il avait quelques épices. Il correspondait bien avec des côtelettes d'agneau cuits (1/2 beurre et l'huile d'olive avec le romarin, l'estragon, la menthe et une pincée de fenouil). La protéine ramolli parfaitement les acides-tanins. Le vin a demandé à être savouré, prêt maintenant et pour encore quelques années.

Magnifique nez de wintergreen menthe suivie par des combinaisons de cerise, de canneberge, et d'épices subtiles sur le palais. Essayez-le avec le filet de porc brossé avec la moutarde de Dijon et le thym. Dégusté octobre 2012.